En ce 10-Mai, journée commémorative du souvenir de l’esclavage et de son abolition, relire et réapprendre ce poème magnifique, épitaphe sur la tombe du poète mais aussi voix vibrante d’humanités :
J’habite une blessure sacrée
j’habite des ancêtres imaginaires
j’habite un vouloir obscur
j’habite un long silence…
La suite sur Papalagui du 20 avril 2008.