« Ceux qui se font prendre sont toujours les plus petits, ceux qui vivent et travaillent dans les zones chaudes, où le risque est le plus élevé. Les chefs sont ceux qui ont le moins de problèmes avec la justice et s’en sortent à bon compte s’ils se font prendre. » p. 180, Trafiquants d’hommes, d’Andrea Di Nicola et Giampaolo Musumeci, éditions Lina Levi.