En 2010, un séisme ravagea Port-au-Prince et ses environs. Périrent 230 000 personnes sans compter un nombre énorme de blessés.
Un an plus tard, quelques écrivains eurent l’ambition de faire de ce tremblement de terre un tremblement des consciences et des créations et l’axe de leur résistance… Ainsi prit naissance une résidence artistique, éphémère et utopique… les Passagers des vents, devenu l’énergie d’une revue, Intranqu’îllités.
En voici un reportage (images Jean-Pierre Magnaudet) :
Le titre est un hommage à Edouard Glissant et à son recueil de poésie, Pays rêvé, pays réel.