« Je voudrais enfoncer en chaque mot la douleur de ces hommes vivants sous les griffes d’un siècle qui bâcle ses espérances et qui entretient avec l’avenir des relations de panique », Sony Labou Tansi en ouverture de la préface de Antoine m’a vendu son destin (théâtre de La Colline, 21/02 au 18/03/2017)