« Souvent la beauté n’est pas perçue parce qu’elle est dans un désert, ou parce que l’œil qui pourrait l’apprécier ne s’est pas présenté – souvent elle est vénérée et portée aux nues alors qu’elle n’existe pas ; mais jamais elle ne doit manquer là où un cœur frémit d’ardeur et de ravissement, ou bien là où deux âmes se consument l’une pour l’autre ; car sans elle le cœur se tait, et l’amour entre les âmes se meurt. » Adalbert Stifter, Brigitta, traduit de l’allemand par Marie-Hélène Clément et Silke Hass, Cambourakis, 90 pages