« Ils se disaient « anti-colonialistes » et voulaient, à l’instar des pays du tiers-monde, « débarrasser » la Martinique de la tutelle française (…) Ils sont passés à l’acte en affichant officiellement leur existence dans un manifeste placardés sur les murs des églises, des gendarmeries ou des mairies de la Martinique, le 19 décembre 1962 : « La Martinique aux Martiniquais ».
Quelques semaines plus tard, ces militants de l’OJAM (Organisation de la jeunesse anticolonialiste de la Martinique) seront arrêtés et quelques-uns d’entre jugés pour « complot contre l’État ».
Lire l’article d’Adam Kwateh de France-Antilles.