C’était en novembre 2005, à Tombouctou, à l’occasion de l’université des Cinq continents et de la francophonie. Des ministres étaient venus de la capitale du Mali, Bamako. Des étudiants de l’ensemble de l’Afrique devaient bénéficier d’une semaine de séminaires sous l’intitulé : « Penser la diversité en termes de création et de professionnalisation ».
Un thème qui prend toute sa valeur à l’heure où l’obscurantisme gagne du terrain. Après la destruction des mausolées de la cité des 333 saints, le péril pèse sur les 100 000 manuscrits de Tombouctou.
À consulter, la page Tombouctou du site de l’UNESCO.
Lire l’article (accès réservé abonnés) dans Le Monde (29.06.12) de Jean-Michel Djian : « Tombouctou, épicentre du nouvel obscurantisme islamiste africain ».
À consulter le site malien Afribone.