20 juin 2014 by Papalagui Le violon frémit Poésie Laisser un commentaire « Le violon frémit comme un cœur qu’on afflige. » Baudelaire, « Harmonie du soir », Les Fleurs du mal. Paris, Métro ligne 9. Partager : Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook J’aime chargement…