Les morts aux trousses… ou comment un artiste fait une recherche en arts plastiques sur les zombies dans le film d’horreur américains. Réponse de Karim Charredib sur Radio Thésards avec sa thèse (Les Zombies et le Visible : ce qu’il en reste), entre esthétique et politique sur le corps funambule du zombie, entre pratique artistique et pensée du cinéma : le zombie est une « forme de chaos dans la profondeur de champ », une « survisibilité » en quelque sorte, « une occupation de l’espace filmique (…) objets impossibles dans le cinéma. Qu’est-ce qu’on en fait, où est-ce que ça va ? » Utopie triste d’un « changement possible qui ne se fait pas et devient à travers l’horreur sa propre parodie ».