la littérature comme une critique de la vie

L’extrait : Ce n’est pas en exigeant de l’écrivain imaginatif qu’il traite de  » jolies choses  » que le lecteur mécanique interfère dans la production de chefs-d’œuvre, mais bien par sa propre incapacité à discener les  » jolies choses  » dans un livre, aussi formidable soit-il, dès qu’une difficulté se présente à ses yeux. Pour ceux qui envisagent la littérature comme une critique de la vie, rien n’est plus déconcertant que cette incapacité à distinguer l’idée directrice d’un livre – sa valeur technique et imaginative considérée comme un tout — de ses caractéristiques purement factuelles.

Le livre : Le vice de la lecture, Edith  Wharton, 1903, éd. française Les éditions du Sonneur, 2009, 38 p. traduction de l’américain par Shaïme Cassim.

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