
À Kobe, un atelier de calligraphie fréquenté par des retraités, le matin, des enfants, en fin d’après-midi.
La qualité est impressionnante.

Tracé, équilibre, relief, tout sera passé à l’œil acéré de la professeure, qui elle-même a été élève d’un maître dont il reste les pinceaux majuscules.

Tout ici respire la quête du beau geste ou du geste parfait, selon les cas, la concentration 集中 (shūchū), la transmission que le temps a porté comme un rêve 夢 (yumè), vers un Chasseur de nuages 雲追人 (kumo-oï-bito) :

[雲追人 (kumo-oï-bito), soit « Chasseur de nuages ».]
