Haïti’n Morbraz

A signaler la critique de Clair de Manbo, premier roman de Gary Victor, par Morbraz :

La grande question qui émerge à la recension des œuvres romanesques de Gary Victor, est la suivante : à quoi sert de s’être si brillamment libéré si c’est pour qu’existe sur ce morceau d’île, le plus grand des malheurs et qui y semble incrusté pour durer encore et encore? Et on repense à cette conclusion de Céline « …c’est peut-être ça qu’on cherche à travers la vie, rien que cela, le plus grand chagrin possible pour devenir soi-même avant de mourir. »

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