Lu dans le Journal Officiel de la République française, daté du 10 mai 2009, ces nominations du ministère de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales, selon le décret du 8 mai, les membres du Comité pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage, nommés pour une durée de trois ans membres du Comité pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage:
Mme Françoise Vergès, professeure à l’université de Londres, présidente.
M. Greg Germain, acteur, metteur en scène, directeur du Théâtre d’outre-mer en Avignon (TOMA).
M. Claude-Valentin Marie, sociologue, démographe, vice-président de la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité (HALDE).
Mme Henriette Dorion-Sébéloué, présidente de l’Union des Guyanais et des amis de la Guyane.
M. Guy Lavaud, consultant.
M. Jean Hébrard, inspecteur général de l’éducation nationale.
Mme Myriam Cottias, directrice de recherche à l’université des Antilles et de la Guyane, responsable du centre international de recherche sur les esclavages (CIRESC-CNRS).
Mme Marie-Hélène Joly, conservatrice générale du patrimoine, directrice du musée des ducs de Bretagne.
M. Jean-Claude Judith de Salins, président de l’Association réunionnaise communication et culture.
M. Frédéric Régent, docteur en histoire, enseignant à l’université des Antilles et de la Guyane.
M. Philippe Pichot, coordonnateur de l’association « La Route des abolitions de l’esclavage ».
M. François Durpaire, agrégé d’histoire, enseignant.
Le précédent Comité, qui avait été nommé pour cinq ans et portait le nom de Comité pour la mémoire de l’esclavage (sans la précision » histoire « ), avait pour membres : Françoise Vergès (nommée présidente le 13 février 2008 en remplacement de Maryse Condé), Nelly Schmidt, Christiane Falgayrettes-Leveau, Henriette Dorion-Sébéloué, Marcel Dorigny, Gilles Gauvin, Fred Constant, Claude-Valentin Marie, Anne Lescot, Jean-Godefroy Bidima, Eric Mesnard, Léa de Saint-Julien).
D’un comité à l’autre, toujours douze membres, mais seulement trois rescapés.

La journée des noirs made in France
Les festivités commémoratives en tout genre déculpabilisent les uns et valorisent les autres.
Quand les pro-black professionnels et les anti noirs naturels s’allient, on obtient de bonnes émissions de télévision
De la guerre des mémoires jusqu’à ceux qui n’apprennent jamais rien, l’ignorance a un bel avenir communautariste devant lui.
Quand la France s’excuse d’être elle-même en légalisant la promotion discriminatoire, les dépositions passent pour du progrès.
La suite ici :
http://souklaye.wordpress.com/2009/05/10/post-it-la-journee-des-noirs-made-in-france/
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Je suis heureuse d’avoir trouvé en lien le blog de Gérald Bloncourt et celui de André Gunthert sur votre blog. Gérald photographe, une histoire à faire.
Très cordialement,
Alexis Marise Bique
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