« Quand tout tombe, il reste la culture. Et la culture, c’est la seule chose que Haïti a produite. Ça va rester. Ce n’est pas une catastrophe qui va empêcher Haïti d’avancer sur le chemin de la culture. Et ce qui sauve cette ville, c’est le peuple. C’est lui qui fait la vie dans la rue, qui crée cette vie. Il ne faut pas se laisser submerger par l’événement. » confie Dany Laferrière à la journlaliste canadienne Chantal Guy.

Dany Laferrière au court de tennis de l’hôtel Karibe, où des matelas ont été sortis en catastrophe dans la première nuit qui a suivi le séisme.
Photo: Ivanoh Demers, La Presse

je suis bien d’accord pour avoir été en HAITI, c’est le peuple haïtien qui fait la force de ce pays mais il est souvent meurtri pourvu qu’il garde courage et confiance
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